Annecy et la Savoie par un élève d’Ingres, édition luxe

Annecy et la Savoie par un élève d’Ingres, édition luxe

Annecy et la Savoie par un élève d’Ingres,édition luxe
• Descriptif

Format à l’italienne, 22,5 x 26,5 cm, 152 pages
Environ 150 reproductions en couleurs

Edition de luxe
Tirage numéroté limité à 300 exemplaires
Impression sur papier Idéal couché classique, 170 g
Couverture Toile du Marais, titre dorure argent à chaud
Tranchefile et signet

• Un livre indispensable pour ceux qui veulent comprendre l’âme du paysage savoyard

Evénement éditorial en Savoie, ce livre a été une révélation, tant pour les amoureux de la Savoie que pour les amateurs de peinture et de beaux livres ou les collectionneurs.
Cet ouvrage révèle aux lecteurs et aux spectateurs les paysages de la Savoie tels qu’ils étaient au XIXe siècle, avec toutes leurs couleurs et leurs lumières, mais aussi avec la part de rêve qu’a pu y ajouter le peintre.
Un cadeau idéal et original (les livres d’art consacrés à la peinture de paysages savoyards ou alpins sont rares) pour les visiteurs qui l’emporteront et le conserveront comme un agréable souvenir de leur séjour à Annecy et dans la région.

• L’ouvrage

Après «Annecy & Le Bourget, lacs romantiques peints par Prosper Dunant (1790 – 1878)», Alain Bexon fait découvrir au lecteur et spectateur l’œuvre et la vie de Firmin Salabert (1811 – 1895), élève d’Ingres (1780-1867), à travers les pages de ce livre, premier à lui être consacré. Environ 150 œuvres agrémentent avec harmonie une biographie et des correspondances choisies inédites. Un véritable hymne pictural… Il s’agit là du témoignage inédit d’un peintre de l’époque romantique sur Annecy et la Haute-Savoie au XIXe siècle. Depuis les plus beaux sites du lac d’Annecy, qui ont sa prédilection, le peintre emmène le spectateur-lecteur jusqu’à Chamonix en passant par le Col des Aravis.
On surprend, avec l’artiste, les ours du massif des Bauges…mais aussi les baignades de Vénus sur les bords des rivières fraîches des alentours du lac d’Annecy.

Né en 1811, à Gaillac, en Albigeois, Firmin Salabert, portraitiste des musiciens, des chanteurs d’opéra et des divas de l’époque romantique dans les années 1830 et 1840, à Paris et à Londres , excelle dans les portraits au pastel. Ses séjours fréquents en Angleterre lui permettent de s’inspirer du style anglais. Dès 1853 il va fréquemment séjourner en Savoie. Ému par les paysages savoyards, l’artiste découvre autour du lac d’Annecy sa vocation de paysagiste, comme d’autres ont perçu, dans l’intimité de leur âme, le sentiment de la nature alpestre…

Il est initié à l’art de peindre d’après nature par son beau-père, l’architecte et peintre Prosper Dunant. Celui-ci n’aura de cesse de lui prodiguer les conseils les plus judicieux pour maîtriser les lignes, les formes et les lumières des sites alpins qui ont sa préférence.
Mêlant les leçons de son maître Ingres aux pratiques de Dunant, le portraitiste se révèle très vite un excellent paysagiste. Après avoir longtemps exposé ses portraits, Salabert va s’efforcer de faire connaître ses paysages savoyards et annéciens au public du Salon du Louvre à Paris, des expositions de provinces ou des salons internationaux.

Indéniablement le style de Firmin Salabert est ingresque, ses portraits possèdent ce supplément spirituel qu’ont su retranscrire les meilleurs élèves d’Ingres.
Il reste, néanmoins, une exception parmi les élèves du maître rares à s’être donné avec autant de passion à la peinture du paysage d’après nature.

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